Ecrit sous un pseudonyme, « Les Post-Humains » est le tout premier roman d'Henri Loevenbruck.
Derrière les quelques 230 pages on sent déjà la patte de cet écrivain qui n’a de cesse, depuis, de nous enchanter avec deux magnifiques cycles de Fantasy, et deux thrillers.
2068, le monde entier est aujourd’hui connecté et ne vit plus qu’au rythme de l’information. Tout se passe sur le Net, travail, relation, la vie de tout un chacun est dépendante du réseau. Sauf que le 27 juin, c’est le black out, en quelques secondes le Net disparaît…
Sur fond de guerre des télécommunications, l’action est lancée dès la première page, et jusqu’à la dernière l’auteur sait nous tenir en haleine, les actions s’enchaînent, aucun temps morts, tout va très très vite.
Les personnages nous sont présentés avec énormément de réalisme, les deux acteurs principaux Domian et Béa sont super attachants, et même MACNO, qui n’est pourtant qu’une « entité » informatique, a beaucoup de profondeur.
Tout au long de ce combat entre ceux qui recherchent le monopole, et les partisans de la liberté, nous transpirons, aucun indice ne nous permet d’entrevoir la « victoire » de l’un ou de l’autre, même lorsqu’un infime espoir apparaît, l’intrigue repart et nous rebasculons dans le doute.
Un livre qui est vraiment difficile à lâcher, le récit est si bien mené que c’est avec impatience que nous tournons les pages pour savoir la suite, pour connaître le sort futur de cette cyber humanité.
Pour un premier roman, « Les Post-Humains » est un très bon thriller d’anticipation qui se dévore d’une traite. Je vous le conseille grandement pour découvrir les débuts d'écrivain d'Henri.
Ed. Baleine – 1998
Derrière les quelques 230 pages on sent déjà la patte de cet écrivain qui n’a de cesse, depuis, de nous enchanter avec deux magnifiques cycles de Fantasy, et deux thrillers.
2068, le monde entier est aujourd’hui connecté et ne vit plus qu’au rythme de l’information. Tout se passe sur le Net, travail, relation, la vie de tout un chacun est dépendante du réseau. Sauf que le 27 juin, c’est le black out, en quelques secondes le Net disparaît…
Sur fond de guerre des télécommunications, l’action est lancée dès la première page, et jusqu’à la dernière l’auteur sait nous tenir en haleine, les actions s’enchaînent, aucun temps morts, tout va très très vite.
Les personnages nous sont présentés avec énormément de réalisme, les deux acteurs principaux Domian et Béa sont super attachants, et même MACNO, qui n’est pourtant qu’une « entité » informatique, a beaucoup de profondeur.
Tout au long de ce combat entre ceux qui recherchent le monopole, et les partisans de la liberté, nous transpirons, aucun indice ne nous permet d’entrevoir la « victoire » de l’un ou de l’autre, même lorsqu’un infime espoir apparaît, l’intrigue repart et nous rebasculons dans le doute.
Un livre qui est vraiment difficile à lâcher, le récit est si bien mené que c’est avec impatience que nous tournons les pages pour savoir la suite, pour connaître le sort futur de cette cyber humanité.
Pour un premier roman, « Les Post-Humains » est un très bon thriller d’anticipation qui se dévore d’une traite. Je vous le conseille grandement pour découvrir les débuts d'écrivain d'Henri.
Ed. Baleine – 1998
1 commentaire:
C'est de l'amour là! Que de compliments pour Henry!!!
J'entame les Testament des Siècles dès que j'ai terminé "La théorie des Cordes" de Somoza.
Henry, t'as interet à être aussi bon que ma caille le dit ;o)
Enregistrer un commentaire