Vous vous êtes sûrement déjà posé cette question : d’où venons-nous ? Qu’est-ce qui a fait que le primate a évolué en homme ?
Le Professeur Adjemian vient d’être assassiné. Pour quelle raison ? Le paléontologue aurait découvert le fameux chaînon manquant, répondant à cette question fondamentale : « d’où venons-nous ? ». Une jeune journaliste stagiaire va s’intéresser de plus près à ce mystérieux assassinat. Lucrèce Nemrod, à force de persuasion, va partir en quête d’indices et remonter la piste de cette théorie avec l’appui d'Isidore Katzenberg, ancien journaliste scientifique, qui vit maintenant reclus dans son château d’eau.
Quelque part en Afrique il y a plusieurs millions d’années. IL fait parti d’une tribu de primates en voie d’évolution. La hiérarchie y est simple : les dominants qui ont tous les droits, dont fait parti le chef de la horde, les dominés et les souffres douleur.
Leur intelligence commence à poindre, nous ressentons les prémices de l’intellect humain. IL se détache petit à petit du reste de la tribu, et va faire l’apprentissage des premiers sentiments, l’instinct commence à laisser la place au raisonnement. Le premier humain serait-il en train d’apparaître ?
Deux intrigues qui vont nous amener au même but, la découverte des origines de l’humanité. « Le Père de nos Pères » est un polar paléontologique, à l’intrigue captivante. D’un côté nous suivons Lucrèce (la petite souris) et Isidore (l’éléphant) dans leur enquête, nous emmenant jusqu’aux confins de l’Afrique. De l’autre nous sommes spectateur de la vie d’un jeune primate qui va faire son apprentissage de la vie.
Jusqu’au dernier mot le suspense est intense, et la fin on ne peut plus spectaculaire. Les interrogations sur nos origines fusent, il est impossible de refermer ce livre sans se poser des tonnes de questions. Certes l’auteur nous offre sa philosophie, mais ce serait trop facile que ce soit la seule vérité possible ! Et un livre de Bernard Werber nous ouvre obligatoirement l’esprit vers d’autres horizons de réflexion.
« Le Père de nos Pères » se présente pas seulement tel un polar, les genres se mélangent et s’enchaînent sans cesse, ce roman devient tantôt conte philosophique, puis enquête journalistique, en passant par le roman d’aventure ou la biographie. Nous ne pouvons pas apposer d’étiquette sur cet ouvrage, si ce n’est qu’il reste dans le pur style de l’auteur. Le duo Lucrèce et Isidore est très attachant de par leurs différences. Les moments d’humour ne manquent pas entre ces deux là.
« Le Père de nos Pères » est le livre que je conseille à tous les curieux. Un roman à la fois éducatif, palpitant, et rempli d’émotion. Une superbe histoire sur nous, les hommes.
Parmi ceux qui liront cet ouvrage, merci de me dire si vous aussi vous avez eu subitement envie d’adopter un petit goret. Ou suis-je la seule ?..
Ed. Livre de Poche – 1998
Le Professeur Adjemian vient d’être assassiné. Pour quelle raison ? Le paléontologue aurait découvert le fameux chaînon manquant, répondant à cette question fondamentale : « d’où venons-nous ? ». Une jeune journaliste stagiaire va s’intéresser de plus près à ce mystérieux assassinat. Lucrèce Nemrod, à force de persuasion, va partir en quête d’indices et remonter la piste de cette théorie avec l’appui d'Isidore Katzenberg, ancien journaliste scientifique, qui vit maintenant reclus dans son château d’eau.
Quelque part en Afrique il y a plusieurs millions d’années. IL fait parti d’une tribu de primates en voie d’évolution. La hiérarchie y est simple : les dominants qui ont tous les droits, dont fait parti le chef de la horde, les dominés et les souffres douleur.
Leur intelligence commence à poindre, nous ressentons les prémices de l’intellect humain. IL se détache petit à petit du reste de la tribu, et va faire l’apprentissage des premiers sentiments, l’instinct commence à laisser la place au raisonnement. Le premier humain serait-il en train d’apparaître ?
Deux intrigues qui vont nous amener au même but, la découverte des origines de l’humanité. « Le Père de nos Pères » est un polar paléontologique, à l’intrigue captivante. D’un côté nous suivons Lucrèce (la petite souris) et Isidore (l’éléphant) dans leur enquête, nous emmenant jusqu’aux confins de l’Afrique. De l’autre nous sommes spectateur de la vie d’un jeune primate qui va faire son apprentissage de la vie.
Jusqu’au dernier mot le suspense est intense, et la fin on ne peut plus spectaculaire. Les interrogations sur nos origines fusent, il est impossible de refermer ce livre sans se poser des tonnes de questions. Certes l’auteur nous offre sa philosophie, mais ce serait trop facile que ce soit la seule vérité possible ! Et un livre de Bernard Werber nous ouvre obligatoirement l’esprit vers d’autres horizons de réflexion.
« Le Père de nos Pères » se présente pas seulement tel un polar, les genres se mélangent et s’enchaînent sans cesse, ce roman devient tantôt conte philosophique, puis enquête journalistique, en passant par le roman d’aventure ou la biographie. Nous ne pouvons pas apposer d’étiquette sur cet ouvrage, si ce n’est qu’il reste dans le pur style de l’auteur. Le duo Lucrèce et Isidore est très attachant de par leurs différences. Les moments d’humour ne manquent pas entre ces deux là.
« Le Père de nos Pères » est le livre que je conseille à tous les curieux. Un roman à la fois éducatif, palpitant, et rempli d’émotion. Une superbe histoire sur nous, les hommes.
Parmi ceux qui liront cet ouvrage, merci de me dire si vous aussi vous avez eu subitement envie d’adopter un petit goret. Ou suis-je la seule ?..
Ed. Livre de Poche – 1998
2 commentaires:
wé moi aussi g eu envie d'adopter un petit cochon :d
:)
wé effectivement moi aussi g eu l'envie d'adopter un p'tit cochon :d
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